de bassiste laissé vacant.
Les trois premiers morceaux permettent de constater que le groupe reprend les choses où il les avait laissées. Une musique reptilienne et progressive, tissée d'entrelacs de guitares et de basse trippante et profonde, ou de riffs syncopés typiques, à l'unisson ou en contretemps. Le son est toutefois plus épais, les guitares plus lourdes, rendant obsolète cette étiquette "diet-Tool" qui pouvait jusque là coller à la musique des anglais. Les différences entre les cousins séparés par l'Atlantique s'estompent parfois de manière troublante (le rythme de"Redeye", le tribal et planant "Splinters" évoquant les plages ambiantes de "Lateralus").
Semblant retrouver toute sa confiance en lui, le groupe affirme de nouveau ses ambitions progressives (comme Peach), avec un saxo en référence (malheureuse, sur "Bottlenecked") à Van Der Graaf Generator, ou un (heureux) triptyque final ("Syzygy", parts.1,2,3) qui s'ouvre sur un riff stoner avant de plomber le rythme progressivement pour s'achever en trip acoustico-70's sous l'oeil bienveillant de Syd Barrett.
site Suns of the Tundra
myspace Suns of the Tundra
Les trois premiers morceaux permettent de constater que le groupe reprend les choses où il les avait laissées. Une musique reptilienne et progressive, tissée d'entrelacs de guitares et de basse trippante et profonde, ou de riffs syncopés typiques, à l'unisson ou en contretemps. Le son est toutefois plus épais, les guitares plus lourdes, rendant obsolète cette étiquette "diet-Tool" qui pouvait jusque là coller à la musique des anglais. Les différences entre les cousins séparés par l'Atlantique s'estompent parfois de manière troublante (le rythme de"Redeye", le tribal et planant "Splinters" évoquant les plages ambiantes de "Lateralus").
Semblant retrouver toute sa confiance en lui, le groupe affirme de nouveau ses ambitions progressives (comme Peach), avec un saxo en référence (malheureuse, sur "Bottlenecked") à Van Der Graaf Generator, ou un (heureux) triptyque final ("Syzygy", parts.1,2,3) qui s'ouvre sur un riff stoner avant de plomber le rythme progressivement pour s'achever en trip acoustico-70's sous l'oeil bienveillant de Syd Barrett.
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